La voie verte V6 - ancienne voie ferrée
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Ancienne gare
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22110
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Rostrenen
La Voie Verte V6 suit le tracé de l’ancienne voie ferrée Carhaix - Saint-Méen-le-Grand et parcoure le sud des Côtes d’Armor. Elle traverse forêts, landes et côtoie chapelles et sanctuaires. À l’abbaye de Bon Repos, l’itinéraire emprunte, pour une dizaine de km, le Canal de Nantes à Brest avant de reprendre son fidèle cheminement ferré jusqu’en Finistère.
À la fin du XIXè siècle, la Bretagne intérieure est une terre isolée. Le train se développe dans l’hexagone et le canal de Nantes à Brest peine à se terminer.
À force de ténacité et de persuasion de la part des élus locaux réclamant le droit au développement pour dynamiser l’économie locale, une ligne de chemin de fer leur est promis en 1885. De Carhaix à Saint Meen Le Grand, en passant par Maël-Carhaix, Rostrenen, Gouarec, Bon-Repos, cette ligne va se construire par étape, pendant trente longues années, jusqu’en 1907.
Grâce à un système de réduction d’écartement des rails, les vallées tortueuses de la Bretagne Intérieure et leurs courbes sont suivies, non sans mal. Un trafic important débute alors tant au niveau des marchandises que des voyageurs, jusque dans les années 30, lorsque les créations plus nombreuses de routes entraînent peu à peu une désaffection.
À la fin du XIXè siècle, la Bretagne intérieure est une terre isolée. Le train se développe dans l’hexagone et le canal de Nantes à Brest peine à se terminer.
À force de ténacité et de persuasion de la part des élus locaux réclamant le droit au développement pour dynamiser l’économie locale, une ligne de chemin de fer leur est promis en 1885. De Carhaix à Saint Meen Le Grand, en passant par Maël-Carhaix, Rostrenen, Gouarec, Bon-Repos, cette ligne va se construire par étape, pendant trente longues années, jusqu’en 1907.
Grâce à un système de réduction d’écartement des rails, les vallées tortueuses de la Bretagne Intérieure et leurs courbes sont suivies, non sans mal. Un trafic important débute alors tant au niveau des marchandises que des voyageurs, jusque dans les années 30, lorsque les créations plus nombreuses de routes entraînent peu à peu une désaffection.