Chapelle ND de la Croix
Cette chapelle de grande taille, dédiée à Notre Dame de la Croix, date de 1485. Son clocher date, lui, de la Renaissance. Mais l’ensemble a bien été restauré au XIXème siècle.
Son principal intérêt réside en son jubé, et sa poutre de gloire, du XVIème siècle, classé monument historique au titre d’objet depuis 1938.
Ce jubé, qui servait à séparer le clergé des fidèles, est exceptionnel grâce à la frise représentant les 7 péchés capitaux sous les traits des animaux, en bois polychrome. Les nombreux détails montrent la presse de l’escargot, la gourmandise du cochon, l’envie du serpent... Sur l’autre face, les vertus remplacent les péchés. Sa réalisation est attribuée à un atelier carhaisien.
Ce jubé proviendrait, en réalité, de la chapelle de Guendol à quelques kilomètres, aujourd’hui détruite. Conscients de son intérêt, des fervents l’auraient stocké dans cette chapelle, avant de le réinstaller définitivement.
Pour découvrir cet édifice religieux et son jubé, les clefs sont disponibles à la mairie de Plélauff.
La chapelle aurait été édifiée, d’après des sources locales, en utilisant les pierres du château de Coatrivallan aujourd’hui disparu.
Son principal intérêt réside en son jubé, et sa poutre de gloire, du XVIème siècle, classé monument historique au titre d’objet depuis 1938.
Ce jubé, qui servait à séparer le clergé des fidèles, est exceptionnel grâce à la frise représentant les 7 péchés capitaux sous les traits des animaux, en bois polychrome. Les nombreux détails montrent la presse de l’escargot, la gourmandise du cochon, l’envie du serpent... Sur l’autre face, les vertus remplacent les péchés. Sa réalisation est attribuée à un atelier carhaisien.
Ce jubé proviendrait, en réalité, de la chapelle de Guendol à quelques kilomètres, aujourd’hui détruite. Conscients de son intérêt, des fervents l’auraient stocké dans cette chapelle, avant de le réinstaller définitivement.
Pour découvrir cet édifice religieux et son jubé, les clefs sont disponibles à la mairie de Plélauff.
La chapelle aurait été édifiée, d’après des sources locales, en utilisant les pierres du château de Coatrivallan aujourd’hui disparu.